mercredi 31 janvier 2007

10 éme journée


Tu ne peux avoir été crée,
Que par les doigts d'une fée.
Te ramasser, c'est te profanér,
Et abimer ta beauté
Cependant si belle à regarder,
Je ne peux que m'incliner,
Devant celui qui ta élevée.
Orchidée,chère orchidée,
Quelle fleur,plus belle serait mieux parée,
De mille couleurs irisée,
Aux milliers de saveur parfumée,
Oh bien aimée orchidée,
Tu me fais réver



Fleur Immaculée

De Toute Beauté,

Ailes de Papillon,

Jeu de Séduction,

Oeil de Velours,

Amour pour Toujours,

Pureté du Contour,

Belle-de-Jour,

Telle est l’Orchidée

Dans ses Plus Beaux Atours.







... Dans le langage des fleurs, l'orchidée représente : ferveur, amour raffiné et mystérieux




Les fleurs sont noiresLa lumière est éteinte...



MaisDans la pénombre



Une orchidée sauvageAttend...



Elle attendLe soleil se lever



Pour se montrer au mondeEbouriffée



Dans tout l'éclat de sa beauté











Regardez la fleur et surtout le fond de la corolle, vous y verrez une colombe !









Dans la salle accueillante et claire


Règne une calme atmosphère


La lumière doucement tamisée


Donne aux rideaux des reflets irisés.


Sur la table est gracieusement disposée


Avec art une branche d’Orchidée.



Deux prunelles couleur d’un ciel d’été


En l' étudiant se mettent à rêver…


Hysatis n’ose encore poser la main


Sur la feuille vierge du papier dessin.


Un frémissement semble la parcourir,


Telle cette fleur, elle va s’épanouir…


Doucement, le crayon s’aventure.


Précis, il en trace finement l’épure.


Elle choisit les couleurs sur sa palette,


La voici sur une autre planète…


Sous les pinceaux,


l’Orchidée magique


Prend des nuances magnifiques


Transparence des pétales parfumés,


Mythe féminin, symbole de beauté…


Rose nuancé des corolles nacrées,


Feuilles légères sur la tige élancée,


La texture soyeuse semble vivre soudain


L’Artiste la fait naître sous ses mains…


Cette fleur délicate et précieuse,


Objet de tous les soins, est merveilleuse.


Son histoire, je crois, est délicieuse,


Ne vous étonnez pas si la Belle est rêveuse…

Diane Tell...

9 éme journée!


Moi, si j'étais un homme, je serais capitaine

D'un bateau vert et blanc,

D'une élégance rare et plus fort que l'ébène

Pour les trop mauvais temps.
Je t'emmènerais en voyage

Voir les plus beaux pays du monde.

J' te ferais l'amour sur la plage

En savourant chaque seconde

Où mon corps engourdi s'enflammeJusqu'à s'endormir dans tes bras,

Mais je suis femme et, quand on est femme,

On ne dit pas ces choses-là.
Je t'offrirais de beaux bijoux,

Des fleurs pour ton appartement,

Des parfums à vous rendre fou

Et, juste à côté de Milan,

Dans une ville qu'on appelle Bergame,

Je te ferais construire une villa,

Mais je suis femme et, quand on est femme,

On n'achète pas ces choses-là.
Il faut dire que les temps ont changé.

De nos jours, c'est chacun pour soi.

Ces histoires d'amour démodées

N'arrivent qu'au cinéma.

On devient économe.

C'est dommage : moi j'aurais bien aimé

Un peu plus d'humour et de tendresse.

Si les hommes n'étaient pas si pressés

De prendre maîtresse...

Ah ! si j'étais un homme !
Je t'appellerais tous les jours

Rien que pour entendre ta voix.

Je t'appellerais "mon amour",

Insisterais pour qu'on se voie

Et t'inventerais un programme

À l'allure d'un soir de gala,

Mais je suis femme et, quand on est femme,

Ces choses-là ne se font pas.
Il faut dire que les temps ont changé.

De nos jours, c'est chacun pour soi.

Ces histoires d'amour démodées

N'arrivent qu'au cinéma.

On devient économe.

C'est dommage, moi j'aurais bien aimé

Un peu plus d'humour et de tendresse.

Si les hommes n'étaient pas si pressés

De prendre maîtresse...

Ah ! si j'étais un homme,

Je serais romantique...
Diane Tell.



La vague est son allié,


L'enfant n'en a plus peur.


Il danse pendant des heures


Le long de ses reflets.
Il devient seul au monde,


Découvre la liberté,


Se surprend à chanter,


Il voudrait faire la ronde.
Les sirènes se taisent,


Intriguées par ce chant


Qui devient entraînant,


Qui berce et qui apaise.
Divaguer sur la valse,


Sur la valse des vagues,


En oubliant le temps


Comme lorsqu'on est enfant.
La vague est son allié,


Elle fait battre son coeur.


Il valse pendant des heures


Le long de ses reflets.




Les Vagues Caressent le Rivage,
Les Empreintes esquissent un Visage,
Lisser les Rides des Sables
Effacer les Traces Immuables,
Laver les Ondes Zébrées
Sous l’Oeil du Masque Ciselé.





Sous la mer
Au fond de l'océan
vit un peuple étonnant.
L'hippocampe oscillant
Comme un cheval à bascule,
Les Algues en mouvement,
L'étoile qui gesticule,
L'anémone ondoyant
Et le crabe qui recule,
L'oursin et ses piquants,
La pieuvre et ses tentacules,
Les poissons qui pullulent,
Tournicotent et font des bulles.





Depuis la nuit des temps,
Les mers, les océans
Se balancent
En cadence
Entre les continents.
La marée monte
Puis elle descend,
Elle semble hésiter
Pour choisir un côté
Où s'installer.




La houle se défoule,
Les rouleaux roulent
Et les vagues déboulent.
Elles s'enroulent et se déroulent
Dans un fracas de jeu de boules
Qu'on blackboule et qui s'écroulent.

Au fait, qu'en disent les moules?
Ça les rend maboules!




On la peint en bleu, en vert,
Parfois en rouge ou en noir.
De quelle couleur est la mer?
Si vous voulez le savoir,
Mettez de l'eau dans un verre
Et regardez au travers:
Pas d'erreur,
La mer n'a pas de couleur!





Dans la Brume sur Mer d’Ecume,


Voiles Dehors à Tribord,


Vive Allure dans l’Embouchure,


Filer Vite à l’Aventure.




Brume de Terre contre Embruns de Mer,



Grève Dorée aux Larmes Salées,



Langue de Sable sur Rivage Désirable,



Effleurement Immuable,



Caresse Inlassable.

mardi 30 janvier 2007

Le lundi au soleil

Pour Bellyne











Tout le monde me demande si je t'aime encore


Et si je pense encore à toi


Ils me demandent de parler de mon cœur


C'est triste depuis de long mois.


Je mens un petit peu, et je dis fièrement


Elle a les yeux bruns ma Bellyne


Elle a le front brun ma Bellyne


Je suis brune et tu es brunes


Tu as les mêmes yeux que moi


Tu es celle que je n'attendais pas


Nous deux c'est une histoire de corida


elle a les yeux brun ma bellyne


elle a le front brun ma bellyne


Eh, avez-vous rencontré


La plus belle fille du monde aujourd'hui


et si c'est oui dites lui bien que je l'aime


Mais si un jour tu te retrouve toute seule,


Que tu t'imagines que les gens t'en veulent,


Que le bonheur soudain t'abandonne,


Que pour te consoler tu ne trouves personne,


Viens vite, viens vite, je t'attendrai, viens vite, je t'attendrai.


elle a les yeux bruns ma bellyne


elle a le front brun ma bellyne


Tu as déjà tracé le dessin de ta routePour après


Qu'on veuille te garder


C'est ce que tu redoutes


Je le saisAimer sans le chercher selon la providence


Et adieu


Comment te retenir, comment faire si tu penses


Que c'est mieux


Tu dis que ta jeunesse est un trop beau trésor


Pour la laisser


Tout entière à mon cœur, tout entière à mon corps


Abandonner
J'attendrai, j'attendrais longtemps s'il le faut.


J'attendrai avec tout l'amour qu'il te faut


J'attendrai, tu peux toujours compter sur moi...

Pour Hop Hop









vendredi 26 janvier 2007

A écouter....avec les grasses mat'....

Grasses mat' interminables lovée sous une couette bien chaude !


Le parfum de sa voix embaume ma mémoire
En notes de velours
Accordées au satin de sa peau.
Je revois la magie de nos corps enlacés,
Mélangés, confondus
Au rythme de nos jeux amnésiques.
À Paris ou ailleurs,
Je rêve de retrouver nos gestes,
D’enrichir notre alphabet du plaisir
De mots inconnus,
plus brûlants que la cire.
Le fleuve de tendresse qui me baigne la nuque
Frissonne doucement
Comme une silencieuse certitude
De la revoir.
Elle habite mon attente désarmée.



Elle fait exploser mon univers sensoriel
Elle a pris possession du temps et de l'espace
Chaque seconde me rapproche d'elle
Je garde son odeur sur ma peau à l'infini
Des notes suaves et sucrées
Qui dansent une sarabande échevelée dans mon âme
Nos corps unis inventent un langage secret
Des perles de douceur liquide
Un arc-en-ciel de sensualité débridée
Elle annihile mes incertitudes
A l'encre de nos étreintes incandescentes
Des éclats d'étoiles brillent sur sa peau
L'horizon complice engloutit le dernier nuage
Le futur déroule son tapis de joies
Accordé au concerto de nos frissons.




Comme une douce confidence
Je viendrai au petit matin.
Le dernier métropolitain
S’arrête au seuil de ta défense.
Je voilerai de convenance
Les plus fougueux de mes instincts,
Frôlerai tes cheveux châtains.
Je ne forcerai pas la chance.
Émue, tu me caresseras.
Je me blottirai dans tes bras
Pour le plus tendre des voyages.
L’illumination du bonheur
Rayonnera sur nos visages
Et fera chavirer nos cœurs.


tu es assises sur le bord du lit,
je te dévore du regard


mes mains ont envie de te toucher,
de vérifier que tu es bien réelle.


ma main s'avance en hésitant et se pose
sur tes reinscomme une plume.
tu ne dis rien ,
je ne peux pas voir si tu souris,
ton visage est tourné de l'autre coté!


tu commences a bouger ,
je retire vite ma main ,
tu t'alonges doucement,
ma main se dépêche a revenir vers toi mes yeux glissent sur ton corps détendu!
mes doigts sont aimanté,
jen perds le contrôle,
et parfois ils s'égarent un peu plus bas sur le sommet de tes fesses.
tu ne bouges toujours pas ton corps se laisse aller et viens a la rencontre de ma paume ouverte,
ma main gauche ne tient plus en place et viens remplacer l'autre sur tes courbes,
ma main droite est alors libre pour continuer son exploration.




tu te retourne enfin la tete vers moi et repliant tes bras!
tes yeux et ta bouche sourient!je te serre tout contre moi!




De baiser en caresse,
Le chaud et le froid s’effacent.Dans l’abri de tes bras,je brûle avec toi,
Sur ta peau je caracole.
Une faim nouvelle me colle
À chaque atome de ton corps.
Je t’écoute chanter le cantique du feu.
L’océan de nos désirs
S’abreuve aux vagues de notre tendresse.
J’habite notre fusion.
Je te dédie mes frissons.
Je m’ouvre à ton extase,
Sésame de nos joies.
Transmue ma pudeur.
Distille mon impatience
Dans le chaos de nos douces folies.




J’accorderai ton âme aux couleurs du bonheur,
Assemblées par ma main en taches éclatantes
Formant un arc-en-ciel à l’alchimie vibrante,
Qui versera sa joie dans le fond de ton cœur.
Je mêlerai le vert des marines fraîcheurs
Au rouge incandescent des laves jaillissantes
Qui masqueront le noir des cryptes effrayantes
Où le temps ravageur se livre à des horreurs.
J’ajouterai le bleu de l’insondable espace,
Impassible témoin des mortelles grimaces,
Au blanc immaculé des serments éternels.
J’achèverai mon œuvre en posant une touche
Du jaune de la lune illuminant le ciel
Sous le regard jaloux de planètes farouches

Pour Douxcharlie


Sa voix


Sa voix

M'emporte loin d'ici


Dans le pays magique


Que je construis pour lui


Chaque jour patiemment


Sans contrainte


Avec de la terre gorgée du désir


De moi pour lui


Et de ma confiance patiente


En demain dans ses bras

mercredi 24 janvier 2007


Le rêve de Caroline......




Mon rêve à moi……

A vous tous ces couples heureux
A vous que l’amour rend radieux
Fort et clair je vous le dis
Je vous maudis, je vous envie.

Les jours s’écoulent, les saisons s’enchaînent
Et je n‘ai dans mon cœur que tristesse et peine
Les étés se succèdent les hivers m’assassinent
Moi que la solitude détruit et chagrine.

L’hiver, c’est comme le reste de l’année
Sauf que le froid n’est plus uniquement dans mon cœur
La neige envahit les allées
Et je continue ma quête de douceur.

Tous ces gens qui s’aiment comme si c’était banal
Ne voient pas qu’à moi, leur sans-gêne fait trop mal
Oui je vous observe, oui je vous épie
A la recherche de la recette de votre belle harmonie

Car le temps qui défile me rappelle que je suis seule
Et je ne veux pas finir indifférente et aveugle
Car je crois en l’amour et j’y croirai toujours
Et j’attends impatiemment qu’enfin vienne mon grand jour

La roue tourne me dit-on
Mais je n’ai plus le temps
C’est infiniment trop long
Et beaucoup trop de tourment

Je veux et j’exige moi aussi d’être aimée
Je mérite moi aussi d’être enfin désirée
J’ai envie chaque jour de sentir mon âme vivre
J’ai envie avec
LUI d’être d’amour trop ivres

Mais rien à faire il ne vient pas
Et plus je l’attends, et moins j’y crois
Je n’espère pourtant rien d’impossible à donner
Que la douce chaleur de deux êtres enlacés.

Alors si au hasard de la vie
Je finis par trouver celui
Qui me donnera sa douceur
Et m’apprendra le bonheur
Je le jure devant tous
Je ne laisserai pas passer ma chance
Et enfin à mon tour
J’entrerai dans la danse.

samedi 20 janvier 2007

pour Bellyne


Je ne peux te voir ni te toucher
Je ne peux te serrer ou t'embrasser
Je ne peux que t'imaginer
Dans les brumes de ma pensée.

Quand les vagues de l'émotion me submergent
De mon inconscient tu émerges
Telle une sirène des profondeurs bleutées
Tu viens me parler à mes côtés.

Tu nages alors à travers mes pensées
M'accompagnant partout où je vais.
Tu as déposé dans mon coeur une perle sacrée
Une étoile bleutée que représente notre amitié.

J'en suis maintenant la gardienne
Au plus profond de mon être
Malheur à ceux qui voudraient qu'elle s'arrête

Petite sirène de mes pensées
J'espère un jour te rencontrer
En attendant ce jour
La perle de notre amitié
Brillera dans mon coeur à jamais.

d'une poule sans plumes pour un lapin!